La Guerre du Fer

N'arrivant plus à se connecter, il m'a chargé de poster son rp ( chose qu'il devait faire sur mon ordre ^^). Ce texte est de Synek FerNoir, guerrier des BlackHunter.



La rumeur sourde et martelée de la guerre.

Synek se tenait sur un appontement rocheux, sa cape élimée dansant funestement sous la brise caressante du vent. Il jeta un regard en coin à son subordonné, Daneel. Daneel à l’armature élancée, à la carcasse solide et souple. Daneel au katana énergétique.

Le seigneur robtronic reporta son regard sur les vallons poussiéreux avoisinants. Ce qu’il sentait sous ses pieds, il le voyait de son regard vaguement rubescent.

Les antiques machineries d’Arkun avançaient de leurs formations archaïques et dotées d’un rythme ancien, toujours aussi redoutables malgré le poids des ans sur ces mentors d’acier. Quant aux colonnes blindées de Gizaos, elles formaient un sévère cordon de canons autour de ces régiments abrupts.

Synek aurait esquissé un sourire s’il avait été humain. Comme par une entente tacite, les forces d’Aëryn et Alumess se conjuguaient avec l’aisance d’un couple depuis longtemps étreint. Une telle union, si simple, si facile, était rare entre deux races comme celle entre la xeror et le robtronic ; la douce silhouette et la rude armature.

Il observa un moment les pavés de soldats de Clic, avec leurs faces brutales et leurs squelettes rudes. On aurait dit une avalanche de rocs prêts à concasser n’importe quelle cité se dressant sur leur route. Quant à l’armée de Ractor, elle marchait dans la plaine, fière et légèrement écartée des autres. Les blindés pointaient d’un air inquiétant leurs longues gueules noires et avides de feu.

Une silhouette agile et furtive courrait souplement devant les forces de Lendemor, les doigts métalliques du héros se rétractant par intermittence, comme s’il regrettait cette sensation, cette impression de puissance quand vos mains enserrent une gorge et que vous en brisez la nuque, dans un craquement morbide. Son collègue Kamiquazer, qui s’affublait avec humour ou ironie du matricule MCXI malgré qu'il fût de la race élégante des xerors, progressait tout aussi agilement, ses troupes martelant la plaine de leur cadence sinistre.

Venaient ensuite deux robtronics, apparus encore plus récemment que lui-même parmi les rangs des Black Hunters. Les leurs avançaient de front, formant une ligne épaisse, tels des rabatteurs pressés d’abattre leur cible et d’offrir une rédemption imméritée.
Masqué par la poussière de ces millions de soldats robots en mouvement, un danger encore plus grand restait encore invisible. Un danger remontant aux temps très anciens dont on ne savait plus si son existence avait été réelle que l'on préférait encore croire qu'il ne s'agissait que d'une légende. La simple évocation de son nom électrisait l'atmosphère. Iznogoud était à nouveau présent pour défendre la cause de son peuple que ses ennemis en soit prévenus...

Le front étendu des armées de machines progressait avec la régularité d’une horloge maléfique et bien réglée.


-Je vois la mort qui marche, murmura soudain Daneel, avec la délicatesse qui le caractérisait.

-Quant à moi, je vois la guerre qui est en marche, rétorqua sombrement FerNoir, ses yeux purpurins balayant les forces assemblées sous ses yeux.

Des vers d’un ancien temps lui revenaient en mémoire, et il les susurra au creux de l’oreille d’un vent qui les emporta bien vite.


-« Et là-bas, sous le pont, adossé contre une arche,
Hannibal écoutait, pensif et triomphant,
Le piétinement sourd des légions en marche. »


Son lieutenant leva un regard surpris vers son supérieur, étonné de ce lyrisme immémorial.

-Je ne suis pas un Hannibal, répondit doucement Synek à l’interrogation muette de celui qu’il apprenait à apprécier, mais, pensif, j’écoute leur piétinement, et sais que le triomphe sera le clairon de la victoire dans quelques lunes à peine.

Les ombres s’étaient levées de sous l’amoncèlement des os, les usines et les mines avaient craché leur fumée et leurs portes s’étaient ouvertes avec fracas. A présent l’enfer des roueries vomissait ses démons, et Synek jouait tel un maëstro insensé, sur un orgue invisible et velouté. Le plus jeune des robots pianotait avec passion, dans cette plaine écrasée par des millions de pieds de ferraille, la douce mélodie de la guerre.

Synek déambulait dans les couloirs, la mine lugubre comme seul un être fait de métal pouvait sembler taciturne et maussade. L'euhphémisme ! L'euhphémisme des courbes dures de son visage. Pathétique...

Son poing serré vint rencontre violemment le mur, avec le fracas d'un coup de tonnerre. Tous se souvenaient. Tous les Black Hunters frémissaient de haine en cet instant. Toute l'alliance des Chasseurs Noirs se préparaient à fracasser comme une bande de fous de guerre. La nouvelle leur était parvenue tantôt... l'ordinateur central avait été piraté.

Les banques de données, les bases informatiques, toutes ces séries de nombres, de lettres, d'informations... volées.

Synek se souvenait encore des Anciens et de leurs conseils. "Seule, l'information ne vaut rien. Mais à côté des autres ressources comme le ballium et la téralithe, elle devient le plus précieux or de la galaxie." Et cet or-là leur avait été dérobé. Le jeune robot revoyait encore leur chef à tous, Arkun, ce robtronic antique et martial, hurler dans la salle du grand conseil. En cet instant, tous les Black Hunters étaient animés par la même émotion, à des degrés divers.

Synek fouilla sombrement dans sa propre mémoire pour citer un passage qui convenait à merveille au contexte.

Tous étaient consumés par une haine dévorante dans un océan de rage, balayant de ses vagues de lave le peu de raison dont étaient pourvus les Seigneurs de la Mort. La furie les rongeait dans une tourmente effroyable de sang et une noire abysse de folie sanguinaire pointaient dans leurs yeux.

Le robot s'arrêta. Puis, il murmura un nom. Un seul. Un nom qui, à lui tout seul... résumait ce qu'il venait d'exprimer. Deux mots qui étaient porteur l'un de haine et l'autre de rage. L'un de mort et l'autre de damnation. L'un de défi et l'autre de châtiment.

-Karrigel Septevar...

Aucun humain n'aurait pu prononcer ce nom. Il n'était pas fait pour une gorge vivante. Seul un mort pouvait l'énoncer.

Le Karrigel Septevar, le Courroux d'Acier. Les Anciens lui en avaient parlé, et c'était la première fois qu'il le susurrait.

Le Karrigel Septevar ne pouvait, à l'image d'un katana, être tiré au clair que pour tuer. Et n'être rengainé qu'enduit de sang. C'était tout un serment, toute une vendetta. L'image d'un ressentiment si virulent que ses racines pouvaient perdurer des siècles tout en s'envenimant encore. Ceux qui étaient défiés par le Karrigel Septevar et tous leurs complices crèveraient, seraient abattus et traqués sans relâche, puis enterrés jusqu'à ce qu'ils se fondent dans la terre. Ils disparaîtraient de la surface de tous les mondes. Sans exception.

L'ami d'un Karrigel Septevar serait traîné dans le sang. Le protecteur d'un Karrigel Septevar serait décapité. Le vassal d'un Karrigel Septevar serait annihilé jusqu'au dernier représentant de l'espèce.

Achetez la marchandise d'un Karrigel Septevar et vous serez anéanti. Défendez-le et vous serez écrasé.

La haine ? Quel euhphémisme ! La guerre venait d'être promise, le massacre allait débuter. Le katana allait se noyer dans le sang, et les traîtres punis par le Courroux d'Acier des Black Hunters.

Arkun leva ses yeux morts vers le ciel noir, parsemés d’étoiles. Autant d’astres que de Vies. Autant de morts pour ces légions.
Le vent glacé se frayait un chemin jusqu’à lui, faisant virevolter sa cape noir déchirée. Qu’importe le froid, la faim et la douleur. Lui ne connaissait rien de tout cela. Ce n’étaient bon que pour les faibles, les vivants. Il faisait partit de l’élite des races, appelés à dominer l’univers, il le savait.
C’est pourquoi il était ici, sur cette terre nouvelle. Ses senseurs le rappelèrent à la réalité, bien qu’il ne l’ai jamais vraiment quitté, étant incapable de rêver. Mais ses pensées pouvaient l’emmener très loin, le déconnectant parfois de ces capteurs. L’odeur de chair brulés et de gravats affola son nez artificiel. Le bruit des explosions et des démolitions emplissaient les cieux comme une cascade se déversant dans une plaine démunis de barrage.
La vie était chose bruyante, beaucoup trop. Il ne faisait que taire tout ce bruit. Il savait que son compagnon faisait de même avec la cité voisine.
Arkun venait d’anéantir l’armée de Kukus, même s’il le soupçonnait d’en garder en réserve. Par contre, il savait déjà qu’Alumess venait de nettoyer les troupes de Guigui du 91. La Croisade Noire venait de commencer. Et deux armées ennemie était déjà tombées…



RP ouvert à ceux qui le veulent

Arkun ne comprenais pas la stratégie ennemie. Kukus avait déménager et carrément changé de planète. Le soir, guigui du 91 déménagea également, rejoignant Kukus. Les hunters ne se réjouissaient pas de ces ennemis qui fuyaient. Guanoleporc restait en position, les black décidèrent donc de l’aider à lui donner une raison à déménager également. Quitte à être lâche, autant l’être jusqu’au bout. Les légions d’Iznogoud prirent d’assaut le dépôt et le ballium de l’ennemi, sans rencontrer de résistance. Trop facile…
Arkun décida alors d’envoyer un message au chef des purificateurs :
Si vous souhaiter purifier la plante des Xerors, libre à vous, aider ses membres à déménager est peut être mieux que les aider en leur envoyant des renforts, je ne juge donc pas de votre stratégie. Mais il est temps de finir cette drôle de guerre. Que Guanoleporc et pico déménage et vous rejoigne. Que tout les purificateurs et purificateurs 2 quittent la terre de Barkar. Une fois fait, la paix reviendra. Tout purificateur sur cette planète sera traqué et détruit. Je vous donne une chance de survivre, retenez là…ou combattez pour de bon…

"Va lui parler. Va."

Synek marchait lourdement dans les couloirs d'une forteresse. Une citadelle neuve, érigée, miroitante mais sombre à la fois. Le Robtronic était soucieux et agité.

"Ce ne doit pas être. La guerre est la guerre. Le dessein des Anciens te le commande."

Il avait été créé selon la volonté des Anciens, ces figures antiques et sacrées, les maîtres de cette mine-usine dans les profondeurs desquelles il avait été assemblé. Façonné par leurs mains monstrueuses et leurs doigts innombrables. Construit d'idéal et de métal. Pétri de haine et d'acier. Assoiffé de mort et empli de vie.

"La guerre est grande. La guerre est belle. Elle marche à vive allure."

Le commandement des Anciens résonnait dans sa tête comme un lointain tambour de guerre. Le rythme était celui de l'ordre et de la destruction, le tempo celui de la Non-Vie, et les notes les détonations des blindés.

"La guerre est grande."

Synek s'engagea dans le téléporteur.

"La guerre est belle."

Le seigneur robtronic frappa violemment du poing sur le bouton enclenchant la décharge d'énergie. Un bourdonnement sourd se fit entendre.

"Elle marche à vive allure."

Un flash aveuglant, et il disparut.

~

Le sol de poussière. Le ciel de fumée. L'horizon de sang et de flammes. La guerre. Le combat. La mort.

-ARKUN ! rugit Synek.

L'être fait de renouveau, la dernière génération Robtronic, défia l'antique chef des Black Hunters par ce cri d'aigle. Ce cri de provocation. Ce cri qui aurait pu être lancé pour affronter le cosmos en entier. Quel que soit le prix à payer. Sa voix venait de porter au travers du champ de désolation.

-Black Hunter ! Montre-toi ! gronda à nouveau le Robtronic. Certain que son chef était présent, il continua, les mots jaillissant avec la musicalité de la rage.

-Qu'est-ce que ça veut dire ?! N'aurais-tu jeté que des mots comme on lance négligemment un os à un chien imbécile ? Pourquoi la miséricorde ? Pourquoi ce pardon déguisé ? Ne sommes-nous pas censés affirmer la suprématie de la Non-Vie par la mort, absolue, concrète, universelle ?!

Il continua, martelant les mots comme des coups.

-Qui laisses-tu donc fuir par ce délai ? Que ne chargeons-nous pas ensemble pour les exterminer avant qu'ils ne fuient ? S'ils peuvent partir, qu'ils partent donc, jusqu'aux plus lointaines étoiles qu'ils pourront atteindre ! Notre courroux est sans limite. Nos armées ne se donnent aucune limite. La Non-Vie... NE SUPPORTE AUCUNE LIMITE ! hurla Synek, l'armature parcourue de miasmes haineuses.

-Tous nous sommes le Fléau de la Vie ! enchaîna le robot frémissant d'une voix rauque en englobant d'un large cercle ce qui l'entourait, comme si les Black Hunters au grand complet s'étaient tenus là. Nous hantons les vivants. Nous existions bien avant qu'ils n'arrivent. Bien avant qu'ils ne soient, nous dormions d'un sommeil sacré. Oui, tu pourrais dire que c'est faux pour moi, qui ai été assemblé depuis peu ! Mais telle est pourtant l'unique vérité à retenir ! Elle est subjective, sauf celle de la mort. La Mort ne saurait mentir !

Les yeux purpurins de FerNoir se paraient d'une brillance fiévreuse.

-Notre Loi est Unique, et elle dit : Anéantis ! Extermine ! Chasse les Vivants ! Nous les chassons, mais nous ne voulons d'eux nulle part ! Un jour viendra, où il faudra non pas dégager la vermine de notre salon mais la pousser hors du perron. Même sur une planète autre, il faudra un jour les oblitérer, pour reprendre ce qui nous revient de droit ! De droit, Arkun !

"La guerre est grande."

-Pas de rémission ! Pas de pardon ! Pas de pitié ! Pas de miséricorde ! Précipitons-les tous à la ruine... dans les abysses de l'oubli... le gouffre du néant... le précipice de l'annihilation !

"La guerre est belle."

-Marchons à vive allure... grinça Synek FerNoir. Marchons sur eux. Tout de suite.

Bon comparé à Synek, c'est à chier, mais il était 1h du mat, donc je suis excusé :p


Le soleil rouge déclinait lentement vers le lointain. La guerre faisait rage dans al région. Le Robtronic Iznogoud des Blackhunter avait invoqué les anciennes arcannes, se téléportant de sa planète à celle de l’orc Barkar Guanoleporc. La froideur insensible des être métallique face à la sauvagerie barbare des troupes indisciplinés de peaux-vertes. Chacun avait vu l’autre et chacun se jaugeait. Feinte, manœuvre, aucun des deux n’arrivait à prendre l’avantage sur l’autre. Mais ce soir là, le destin de l’un d’eux allait changer….

Dans sa cité, Iznogoud avait décidé de laisser en sentinelles la moitié de son armée. Prêt de cinq milles tireurs appuyé d’une division de mille huit cent blindés, attendant une possible attaque de nuit de la part des orcs.
Celle-ci se déclencha lorsque prêt de cinq cent pièce d’artillerie s’abattirent sur les troupes muettes du chasseur. Celles-ci réagirent comme à l’accoutumé, lentement, s’en prendre le temps de paniquer, elles allèrent se mettre en position de tir, attendant la charge ennemi qui ne manquerait pas d’arriver suite au pilonnage. Lors que la vague d’assaut se présenta à porté de tir, les robtronics firent feu de toutes leurs armes.
Les lance-roquettes et lance-missiles traversèrent le blindage épais des chars d’assaut comme du papier, les faisant exploser par centaines. Ce fut bientôt deux milles carcasses de chars orcs et de leurs occupants qui jonchèrent le sol et la plaine aride. Cela n’empêcha pas les peaux-vertes, mus d’une sauvagerie diabolique de continuer le chemin vers les lignes du Hunter. Malgré la résistance farouche de ses tireurs, qui abattirent un autre millier de fantassin, les ennemis arrivèrent presque sur la tranchée. Iznogoud lâcha alors sa cavalerie blindé, mais celle-ci fut reçu à coup de roquettes, missiles et autres armes lourdes. C’est bientôt plus d’un millier de nouveau char qui alla rejoindre le cimetière d’acier aux portes de la cité. Les orcs pénétrèrent à l’intérieur et ce fut bientôt le corps à corps.
A coup d’armes blanches ou d’armes automatique, les combats furent violents et sanglants. Grâce à leur supériorité numérique et leur insensibilité, les robtronics repoussèrent les orcs de guano, mais ceux-ci refusaient de céder un pouce de terrain conquis. Il fallut toute la patience des morts pour en venir à bout et bientôt la dernière créature tomba.
Iznogoud venait de repousser guanoleporc. Une troisième armée purificateurs venaient de tomber lors de cette guerre.

Pertes :

Guanoleporc :

Toute son armée :

1958 orcs d’infanterie
1555 machina
1861 chars
241 canons

Total : 5615 unités

Iznogoud :

1800 chars
2111 machina

Total : 3911 unités.

La Mort rodait à nouveau sur les terres sablonneuse et poussiéreuse de la galaxie. Un
commando de Chasseurs avait pris son envol. Il fallait frapper vite. Il fallait
frapper fort. Il fallait frapper aux points clefs.


Arkun, chef d’escouade avait atterrit prêt d’une cible
neutre. Lendemor chassait sa cible, l’ayant déjà écrasée. Kami attendait, comme
un prédateur surveillant sa proie, s’amusant à l’entrevoir entre les ombres
salvatrices des limbes.


La Force existait ‘elle ? Le conseil Jedi réagirait il à cet assaut ? Allait-il
pouvoir soutenir les assauts meurtriers des Blackhunters ? La Force leur serait ils d’une
aide ? Qu’importe.





La Mort se distribuait et les morts s’accumulaient. Et les Jedis ne voyaient rien…

Le croiseur approchait inexorablement de la planète, avec, à son bord, des milliers de robot, tous plus prêt les uns que les autres à en découdre.

Lendemor, dans la baie d'observation du vaisseau, observait froidement la planète, grouillante de vie sauvage. Un nouvel objectif, une nouvelle cible.

Il en était toujours à contemplé la planète lorsqu'un robot vint le déranger:

- Maître, le croiseur s'apprête à accoster sur le Port d'attache Sud-Ouest de Barkure. Tous les robots sont prêt. Nous attendons vos ordres.

- Bien. Très bien. Terminez les préparatifs, je vais rejoindre les soldats.

- A vos ordres, Maitre.

Le robot s'éloigna, laissant le chasseur seul, à regarder la planète qui se rapprochait sensiblement.

- Bien. C'est reparti. Nous avons un cadeau pour cette planète. Un cadeau de sang et de Mort.

Le seigneur tourna le dos à la planète et se dirigea vers un escalier qui menait au pont principal.

Une heure plus tard, l'immense navire de l'espace s'amarrait dans le port aéro-spatial du sud-ouest de Barkure. Celui ci était désert.

- Hum. Soit ils nous on vus arrivé, soit d'autres BH sont passés avant moi.

Il fit débarquer ses armées, et leur ordonna de piller tout ce qui pourrait servir à la construction d'un camp avancé.
Au détour d'un bâtiment, le sombre robtronic tomba sur des cadavres calcinés, dont il ne restait plus que les os...

- Mes soupçons se confirme donc. Arkun est passé par là. Il aurait au moins pu m'en laisser.
Enfin bon, tant pis.

Le Chasseur dégaina son arme et tira une salve vers l'amas d'os qui obstruait le passage, et celui-ci vola en éclat.

- Voilà qui est mieux.

Il reprit sa marche, les yeux animés d'une froide fureur, suivi par ses milliers de soldats et de blindés. Les quelques ruines laissés par le boss BH lors de son passage disparaissaient définitivement. De minces filet de fumée était les dernières marques de la présence des vivants sur cette terre.

Quelques heures plus tard, l'armée de Lendemor avait établi un campement un peu plus au
nord de l'endroit où ils avaient débarqué. Aussitôt, les armées se mirent en marche, et, une heure plus tard, les robots affrontaient l'armée ennemie.

Un peu plus loin, au campement avancé.

- Maitre! J'ai les premiers rapports du front.

- Je t'écoute, tonna-t-il de sa voix métallique.

- Et bien, je ne sais pas trop comment vous dire ça, mais il se trouve que... Nous avons gagné.

- Déjà? Et nos pertes?

- Les pertes? Hum attendez je dois avoir ça... Voilà!
1 robot d'infanterie tué par l'artillerie ennemi. Il a sauvé un de nos blindés en s'interposant entre le tireur et la cible.
24 blindés détruits par les machinas ennemis. Ils ont encaissé tout les tirs ennemis.

- Euh... C'est tout?

- Oui maitre.

- Bien. Très bien. Très très bien. Vous allez portez un message au soldat. Dites leur que je suis fier d'eux. La cité est pour eux. Je ne veux plus un seul batiment debout.

- Bien maitre.

Le robot messager repartit en courant, laissant le robot seul dans sa base.

- Bien, il est temps d'aller chasser.

Arkun riait presque de désespoir. Ses armées venait de raser celle de nono67 du Conseil des Jedi et voilà que ses robots s'en prenaient à pixou, duc indépendant.
Aucune résistance, pas d'activité ennemi. Le commando mis sur pieds par le Blackhunter écrasait toute résistance.
Lendemor avait fini ack, lui aussi du conseil jedi, la veille. Quand à Kami aprés avoir joué avec Mateotto, aprés lui avoir mis une fessée, voilà qu'il s'amusait à démentelé ses abtiment un par un. Trop facile. Un commando pour mener une guerre. Trois jours pour écraser une alliance incapable de réagir. Une guilde avec des alliés qui se fichaient bien d'eux.
La Mort s'abbattait à nouveau sur les planéte...

Tout à une fin mais certaines choses ne changent jamais. Les Hunters ne faisaient pas exception à la régle. Ils venaient d'écraser le conseil du Jedi. Maintenant ils allaient régler une dette d'honneur. On insulte pas les Blackhunters sans en payer le prix. Les armées étaient déjà au front, une nouvelle guerre venaient de commencer...